829 km
parcourus

48:32 heures
sur le vélo

2 969 mètres
d’ascension

200 mètres
altitude maximum

11 jours sur le vélo
(75 km/jour)

17.1 km/h
vitesse moyenne

Lundi 9 décembre, départ de la Thaïlande, de la petite île paradisiaque de Koh Lipe, avec une pointe de nostalgie tellement c’était bien ! Réel coup de cœur pour ce mini morceau de terre qu’on recommande sans hésiter. Si vous voyagez avec des vélos on reconnait que ce n’est pas le plus pratique car il faut embarquer sur la plage, payer des suppléments, prendre un bateau intermédiaire… compliqué mais faisable.

Après 2h de navigation, on s’en sort sans égratignures et les vélos aussi, pour arriver sur l’île de Langkawi, en Malaisie. On passe donc la frontière en bateau ! Le contrôle frontière se fait au port de départ, on nous prend nos passeports qui nous sont rendus une fois à bord au beau milieu de la mer d’Andaman.Puis un nouveau contrôle à l’arrivée et le tour est joué. Simple et original !

Bonne surprise au débarquement, le cours du Mac Donald’s est de nouveau accessible ! En Malaisie, contrairement à la Thaïlande, le prix n’est pas multiplié par 3 pour du fast-food. Première bonne nouvelle. Après être rassasiés, on rejoint notre auberge super sympa mais très baba-cool :

En Malaisie, on ressent tout de suite le mélange ethnique, et on sent que ça bouge plus, les gens sont plus sanguins. Ça change du Laos et de la Thaïlande qui sont plus zen et ça ressemble plus à ce que l’on connait en France.

Sinon Langkawi, en soi on n’a pas trouvé ça foufou, c’est joli, c’est touristique, on trouve beaucoup de bons restaurants, il y a une plage mais nous n’y avons pas ressenti de grosses vibrations :

Après trois jours reposant à Langkawi on continue notre tour des îles et nous rejoignons la dynamique Penang et sa ville bien connue : Georgetown. Et là ça déménage !

L’architecture, l’ambiance de la ville :

L’une des activités phares ici est de partir à la découverte du street art qui est présent un peu partout :

Et de découvrir les traces des différentes cultures qui sont passées par là :

Sans oublier les Shop houses, anciennes maisons de commerce chinoises, protégées par l’Unesco depuis 2008 :

En plus de tout ça, la bouffe est exceptionnelle ! On arrête là les éloges et après 3 jours on reprend un dernier bateau, le samedi 14 décembre, pour rejoindre la terre ferme, le continent, et accessoirement refaire du vélo. Ci-dessous la photo du bac qui ne dure que quelques minutes et qui est très facile d’accès pour toute sorte de véhicules, donc en vélo absolument aucun problème :

Aujourd’hui journée de 90 km qui va rester dans nos mémoires grâce à l’heure du déjeuner. On s’arrête dans un énorme restaurant de bord de route où il y avait affluence donc on s’est dit que ça devait être bon ! On a mis un peu de temps à comprendre le fonctionnement, mais les gens super gentils nous ont expliqué, mis à part le côté très pimenté, c’était parfait ! La cerise sur le gâteau vient d’un monsieur qui nous a invité à notre insu ! Il a payé notre note, on n’a pu que le remercier, ça nous a beaucoup touché. Il a dit que l’on rendrait la pareille pour un étranger dans notre pays, promesse qu’il nous reste à honorer !

Côté faune, ça évolue, on croise dans la journée des varans, des singes et bien heureusement plus de chiens !

On arrive en fin d’après-midi dans la ville de Taiping, sans grand intérêt si ce n’est un hôtel « Peking » dans une vielle jolie bâtisse :

Un parc où l’on se fera interviewé par des étudiants, pour savoir ce que l’on pensait de la multiculturalité en Malaisie, comme quoi c’est une question récurrente, même pour ceux qui vivent là.

Dimanche 15 décembre, 83 kilomètres pour aller de Taiping à Sitiawan. On commence par 15 km de toutes petites routes…

… qui aboutissent sur une famille qui était en train de ramasser des ramboutans, et qui profitent de notre passage pour nous en remplir les sacoches ! Décidément l’accueil malais nous réserve de magnifiques surprises :

Alors qu’est-ce que le ramboutan me diriez vous ?! Parce qu’on avoue avoir du leur demander comment ça se mange, on n’en avait jamais vu de notre vie avant ! Pour nous, au départ, ça ressemblait à tout sauf à ça :

En fait il s’agit ni plus ni moins d’une sorte de litchi, c’est super bon! Côté nourriture, on découvre gentiment les spécialités : Nasi Ayam (traduction littérale riz poulet), du Rojak Buah (des fruits coupés avec de la sauce épaisse noire à la pâte de crevette !). Puis on découvre un combo gagnant : banane frite, choco et fromage ! Certain diraient « c’est un peu too much », nous on dit bravo 😉 :

Un autre dessert, nommé le Cendol Pulut, sorte de riz au lait aux haricots verts (ou plutôt des sortes de pousses), pas mauvais :

Le tout arrosé par une petite averse pour déglacer tout ça :

Sur les deux prochains jours, peu de choses intéressantes, la route est passante et bruyante, les villes où l’on s’arrête dormir, Sitiawan et Sabak Bernam, sont des lieux de passage sans divertissement. La chose un peu rigolote est le nombre de cyclistes que l’on croise à présent. En effet, beaucoup partent de Singapour et presque tous les jours nous tapons la discute avec des compères partis en sens inverse. Nous sommes maintenant des cyclos expérimentés qui avons bientôt fini et qui pouvons partager notre expérience à ces petits nouveaux ! haha 

Mardi 17 décembre, nous pédalons jusqu’à Kuala Selangor, où on y découvre un certain nombre de singes : 

De jolis dessins sur les murs :

Et on se lancera dans une activité touristique des plus originale : aller voir une forêt de lucioles ! On prend un bateau la nuit tombée et il nous emmène près de milliers de bestioles toutes lumières dehors… C’est impressionnant les premières secondes et… ben après ça reste des lucioles 😉

C’est ici qu’on passera une des nuits les plus horrible. Une fois dans le lit, on éteint la lumière et je sens des petites bêtes, on rallume, et là horreur, plein d’insectes degueu qui retournent se cacher dans le matelas… Impossible de dormir là, on sort notre matelas gonflable et on dort par terre… Alors qu’on est à l’hôtel, la lose !

Mercredi 18 décembre, après cette nuit nulle, on se tape une journée sur une route passante, entrecoupée parfois de dizaines de kilomètres de vue sur les palmiers. Ceux-là même qui nous fournissent l’huile tant décriée chez nous mais qui fait vivre des pays entiers qui se sont spécialisés dans sa culture :

En fin d’après-midi nous arrivons à Kuala Lumpur et quoi de mieux pour arriver dans une capitale que de s’offrir une virée sur les échangeurs de l’autoroute ? 

Après quelques slaloms en bonne et due forme au milieu du flux incessant d’autos, nous rejoignons le centre pour s’y reposer. Romain a fait un choix très intéressé puisqu’il nous a réservé un hôtel collé au Mac Donald’s, est-ce une coïncidence ? Je ne crois pas personnellement ! 

On a adoré Kuala Lumpur, il y a un tas de choses à y faire, c’est vivant, moderne, multiculturel :

Par contre c’est en perpétuel construction. Il y a des chantiers partout, les tours poussent comme des champignons en milieu humide. Il faut aussi s’imaginer qu’il y a moins de 150 ans c’était la jungle à cet endroit, c’est le commerce de l’étain qui a engendré les premières constructions. C’est super impressionnant de voir ce qui a été fait en si peu de temps, à l’instar des tours Petronas qui ont été un temps les plus hautes du monde. C’est aussi une ville qui a été colonisée de nombreuses fois, et qui ne s’est finalement débarrassée de ses colons, les britanniques étant les derniers en date, que depuis 1957 !

Mais avant d’aller visiter plus en détail, Romain nous emmène quelque part :

Un indice :

Bingo ! Il s’agit bien de l’hôpital :

Après le problème de bide, de fesses, cette fois-ci il s’agit des parties intimes, et comme c’est intime, je n’approfondis pas ici le sujet 😉 En tout cas, après quelques examens, nous sommes rassurés, ce n’est pas guéri mais la seule façon d’arrêter d’avoir mal semble être de ne plus faire de vélo.. ça tombe bien on a bientôt fini. 

Bref il y a beaucoup à voir à KL, pour les intimes, et voici quelques uns de nos clichés :

Après cette pause stimulante dans la capitale, enfin la vraie capitale c’est Putrajaya, mais bon à 20km près on ne va pas chipoter… on se remet en route dimanche 22 décembre pour une étape de 96km qui nous mènera à Rembau. Là on y dégote un hôtel dans un hangar !

Bon d’accord la photo est prise de nuit, ça ne met pas l’endroit à son avantage. Voici de jour :

héhé ça reste un hangar mais à l’intérieur il y avait une chambre tout à fait correcte, dans laquelle nous avons très bien dormi !

Lundi 23 décembre nous avons 56km à parcourir, entre Rembau et Malacca, que nous bouclons assez rapidement avec une alternance de routes passantes et de chemins agréables :

Et nous sommes particulièrement ravis car à Malacca ce sont de nouveaux les vacances et cette fois-ci il s’agit des vacances de Noël ! On reçoit un superbe accueil de la part des propriétaires, M. Chua et Maria, sa femme, de la Old Town Guesthouse dans laquelle on a réservé. M. Chua va prendre du temps pour nous présenter son auberge, nous questionner, nous prodiguer des conseils pour la fin de notre voyage etc. Chapeau bas M. Chua, un accueil comme ça c’est merveilleux !

A propos de Malacca, c’est une ville magnifique, idéalement située géographiquement. C’est devenu depuis plus de six siècles, une ville portuaire très convoitée où les meilleures marchandises s’échangent. Elle a d’ailleurs été successivement au pouvoir des portugais, hollandais, anglais, japonais pour enfin revenir aux malais. Quelques images pour présenter tout ça :

Et Malacca c’est aussi une ville touristique qui attire de nombreux chinois, certains restaurants ont une réputation telle, qu’il faut compter plusieurs heures pour avoir une table :

Après le dîner, une des distractions favorites est de faire un tour en « rickshaw », vélo ultra customisé, aux mille lumières, et chanson à fond. Il y en a des centaines, impressionnant de jour…

… ils nous révèlent tous leurs atouts de nuit :

C’est tellement énergivore que chaque vélo stock ses batteries de remplacement sur le rond point du centre :

C’est intéressant comme business ! ça doit faire un peu mal aux oreilles et aux yeux à force mais bon, s’ils existent c’est qu’ils ont des clients.

Côté nourriture, tous les types de restaurant existent : du très bon, très cher au boui boui local. A l’instar de l’architecture, c’est un melting pot des saveurs : les mets chinois, thaïs, occidentaux, indiens se côtoient sans soucis apparent. Un de nos coup de cœur revient au restaurant Pak Putra, où l’on mange des triple cheese nan sur des chaises en plastique qui débordent sur un parking extérieur :

Pour terminer notre virée à Malacca nous célébrerons noël à deux ! Loin de nos familles, la magie de la fête se fera un peu désirer mais nous savons que ce ne sera que partie remise lors de notre retour tout proche.

Jeudi 26, après la pause de Noël, on fait le point. Il ne nous reste « plus » que 260 km pour arriver jusqu’à Singapour. Trois petits jours sur le papier. On commence par une journée de 99km pour relier Malacca à Batu Pahat, on note au passage les très jolies maisons :

A Batu Pahat, c’est là que Romain a une idée, une envie, une sorte de demande vitale : « Tient si on allait à Singapour directement demain au lieu de faire deux étapes de 80km » ! Euh ben ouais bonne idée… donc si mes calculs sont bons, ce sont 160 km d’un coup avec des vélos chargés ! Avec tout ça j’ai du mal à m’endormir, ça se bouscule dans ma tête. C’est très certainement lié au stress de bientôt arriver, que l’arrivée signifie la fin du voyage, et qu’il faut absolument s’endormir vite pour être en forme pour la grosse journée, rien de mieux pour rester les yeux grands ouverts !

Vendredi 27 décembre, le 300ème jour exactement de notre voyage, sera donc le jour où on l’a fait ! Levés à 6h45, c’est un peu le jour des dernières fois. La dernière photo de départ :

La dernière photo sur le vélo :

La dernière photo de lézard perdu au milieu de la ville :

Le dernier tas de pizzas avalées car on a le droit, on fait du vélo toute la journée : 

Mais que c’est bizarre de se dire que l’on est en train de toucher au but ! C’est vers 17h30 que l’on arrive à notre dernier poste frontière :

Pour l’anecdote, nous qui pensions passer une formalité ici, serons surpris d’y passer plus d’une heure, avec encore une fois un interrogatoire très poussé, justificatifs des billets d’avion, des réservations d’hôtels, tout y passe, et ça prend un temps fou ! Mais bon ce détail de côté, ben on y est quoi ! 

Il nous reste 25km pour rejoindre notre hébergement, les premières impressions de Singap’ sont : c’est grand, c’est propre et pour le moment très impersonnel !

On arrive de nuit chez Charlotte et Alexis, des lillois, qui vivent à Singapour et qui vont très généreusement et gentiment nous prêter leur appartement de rêve pour 3 jours ! 

Là on ne le sait pas encore mais l’appartement est juste généralissime, on est sur un petit nuage d’être arrivé jusqu’ici :

Voici l’immeuble, la piscine et le canap’ qui nous ont tellement fait vibrer à notre arrivée :

On se sent tellement bien chez nos amis lillois, après tous ces mois sur le vélo, que je pense que l’on a apprécié les lieux mieux que quiconque ! En plus de l’appart, on peut aussi monter au 29ème étage pour la vue ! ça vaut effectivement le tour d’ascenseur :

Sauf bien sûr si on a peur du vide 😂 :

Sinon Singap, c’est un pays/ville très agréable, à l’architecture de standing, les lieux de vie tel que les bars et restos sont nombreux et excellents. C’est aussi une jungle de building, plus beaux et hauts les uns que les autres :

Un des hôtels les plus mythiques de la planète, le fameux Marina Bay Sand :

Dans lequel Romain va m’inviter à manger au 57ème étage pour fêter notre arrivée et dont voici la vue :

Le bordel c’est quand un escargot se retrouve coincé là ! Sur une vitre à essayer de grimper encore plus haut que le plus haut où un escargot est censé être :

ça nous a occupé une bonne partie de la soirée à suivre cette affaire hors du commun mais nous ne connaîtrons pas la fin, on espère qu’aucun animal n’a été blessé dans cette séquence…

Des spectacles sons et lumières offerts chaque soir :

Lundi 30 décembre, pour nos deux dernières nuits de tout le voyage, on se dirige vers notre cadeau ! Mes collègues de Décathlon, qui de façon évidente, croyaient en nous, nous ont offert un super hôtel à Singapour… Voilà pourquoi nous n’avons pas abandonné plus tôt ! On vous présente nos énormes remerciements car c’était exceptionnel :

On doit quand même un tout petit peu « travailler » entre deux ploufs dans la piscine, pour aller chercher des cartons spéciaux pour les vélos. Romain contact un magasin de vélo qui est d’accord pour nous donner deux boîtes. Comme des petites fourmis on se balade dans la ville avec nos énormes cartons pour les ramener jusqu’à l’hôtel :

Puis c’est atelier de démontage des vélos pour qu’ils rentrent dans les fameux cartons, le tout à l’arrière de l’hôtel de luxe ! 

Je pense que l’on a été élus les clients de l’année ! Les mecs qui arrivent avec leurs vélos tout crades, qui font atelier de démontage devant la porte et qui enfume tout le septième étage à la bombe au poivre (c’est une longue histoire) ! Mais ils ont été très gentils avec nous malgré tout ça !

Dernière soirée, le 31, on assiste au feu d’artifice. L’un des plus long de notre vie, 110 mn de show pyrotechnique, agrémenté de spectacles de drones impressionnants. La réputation de Singapour sur sa santé financière n’est plus à faire :

Le lendemain nous arrivons à l’aéroport plein de nostalgie :

Le temps de visiter l’aéroport qui s’apparente plus à un centre de vacances qu’un lieu pour aller en vacances (cascades géantes, piscines, parc aux papillons et j’en passe) et puis c’est l’heure d’embarquer et de réaliser que notre rêve est maintenant un souvenir qui restera à jamais gravé dans nos mémoires :

Douze heures pour effectuer 10 mois d’un long et merveilleux voyage. On voit sur la carte certaines villes que l’on a traversé :

Et puis c’est la France, notre pays, qui nous avait tellement manqué, qui nous offre une drôle d’arrivée :

Une GREVE ! C’est quoi ça ? 10 mois que l’on n’en avait pas ressenti les balbutiements ! Bienvenue à la maison 😂

Après le chaos, la sérénité et c’est avec émerveillement que l’on revoit ces visages familiers puisque c’est nos familles qui sont là, à la porte pour nous récupérer, ça fait chaud au cœur :

On vous dit à bientôt pour le bilan.

Toutes les photos de la Malaisie et Singapour en cliquant ici.

Malaisie sans soucis – Direction Singapour !

13 avis sur « Malaisie sans soucis – Direction Singapour ! »

  • 11 mars 2020 à 14 h 12 min
    Permalien

    Bravo, et bon courage pour le boulot!
    Et maintenant, retour de rem…

    Répondre
    • 28 mars 2020 à 15 h 30 min
      Permalien

      Merci Jo ! Après 3 grosses et difficiles semaines de reprise du boulot, nouvelle expérience : le chômage! Que nous réserve encore 2020 !

      Répondre
  • 11 mars 2020 à 18 h 13 min
    Permalien

    Ah ! ça vallait le coup d’attendre ce dernier article !!! il est merveilleusement agréable à lire et que de magnifiques photos …entre le street art et les touts de Singapour ! ça fait du bien de vous lire à nouveau, on à l’impression de vous suivre à nouveau et de voyager aussi !
    Merci Emilie encore pour cet humour dans ton écriture ! Vivement le prochain voyage … ah ah
    non non je ne plaisante pas ! Bisous à vous deux

    Répondre
    • 28 mars 2020 à 15 h 33 min
      Permalien

      Coucou Sylvie ! Oh oui on a hâte aussi de pouvoir effectuer un nouveau voyage, à priori ça ne sera pas pour de suite ! Quel tragique dénouement, un an à l’air libre pour finir enfermé à domicile, c’est cocasse !
      Merci encore pour tous tes commentaires, de nous avoir suivi, et du bel accueil à l’aéroport.
      Gros bisous

      Répondre
  • 11 mars 2020 à 22 h 18 min
    Permalien

    Ouf maintenant je sais tout des derniers instants de votre périple ! Un peu triste de ne plus avoir de lecture de voyage, vivement que vous fassiez quelque chose de grandiose de vos photos et des anecdotes de parcours !

    Répondre
    • 28 mars 2020 à 15 h 39 min
      Permalien

      Coucou Claire ! Un grand merci pour ton commentaire et surtout de nous avoir lu jusqu’au bout, ça fait vraiment plaisir. Après la liberté, le confinement, on va de façon certaine pouvoir trouver le temps d’écrire un dernier article sur le bilan de notre aventure. Il nous reste encore beaucoup de bons moments à nous remémorer, c’est top 🙂
      Bisou et à très vite, hâte de se revoir de façon humaine et plus via un ordinateur…

      Répondre
  • 13 mars 2020 à 23 h 02 min
    Permalien

    Super ce récit, bravo à vous car il en fallait du courage pour ne pas faire demi-tour ! Merci pour votre gentillesse car le blog c’est également un gros travail , les petites carnets d’Emilie ! Le vélo c’est pas toujours cool, cela reste comme même un engin merveilleux pour l’évasion ! Vivement Lille-Hardelot, je suis certain qu’Emilie ne lâchera rien dans les côtes ni sur les cols des Pyrénées cet été !! Romain lui sera Federico Bahamontes…

    Répondre
    • 28 mars 2020 à 15 h 43 min
      Permalien

      Merci beaucoup Alain ! Oui les petits carnets ça aura été beaucoup de travail mais tellement utile de les voir à présent, pour se rappeler de bons moments, d’anecdotes, de certaines personnes.
      Aujourd’hui on peut le dire, le vélo nous manque un peu vu qu’il est consigné à domicile, mais ce n’est que partie remise pour s’y remettre le plus vite possible et battre des records dans les prochaines montées ! Hâte de te montrer comment j’ai progressé ! En attendant, Federico et moi même te souhaitons une excellente journée et à bientôt.

      Répondre
  • 14 mars 2020 à 15 h 00 min
    Permalien

    Hi Romain and Emilie. Thank you that you mentioned about my place. Glad that you enjoyed the holiday especially in Melaka. Hope that you will come back again next time. Till then, take care all the best and good luck. Kind regards, Chua and Maria.

    Répondre
    • 28 mars 2020 à 15 h 52 min
      Permalien

      Dear Maria and Chua ! It is so nice to have news from you ! I really did not think you would read and leave a message, thanks ! We highly enjoyed our special christmas in Melaka, we wish you the best in this particular and interesting city. We imagine the situation might be complicated for a while but we have no doubt, once the situation is back to normal, with your energy and gentleness and amazing place, things will go back to normal. Please take care, and hope to see you again

      Répondre
  • 16 mars 2020 à 12 h 46 min
    Permalien

    On sent le coup de coeur pour la Malaisie et Singapour…
    A moins que ça ne soit déjà de la nostalgie pour ce fabuleux voyage sportif plein de riches découvertes, mais qui touchait à son but…
    Merci et bravo donc pour cette « suite et fin » en images commentées au fur et à mesure.
    Vous voilà rentrés sains et saufs, tant mieux, dans un un contexte sanitaire troublé à quelques jours de votre retour de lieux où vous avez croisé tant… (jusqu’à Mister Bean, aussi à vélo, sur un mur me semble-t-il, n’est-ce pas Emilie ?).
    Des animaux vous en en avez vus, croqués ou avalés, et pris en photo, Romain ne les a pas comptés comme les kilomètres. Je vous félicite pour la photo de l’escargot grimpeur de Singapour d’ailleurs ! Et je suis rassurée que vous n’ayez pas croisé de pangolin !
    Aujourd’hui = pandémie, le confinement recommandé ! Je vous espère bien chez vous, avec peut-être des vélos d’appartement si vraiment vos mollets vous démangent trop !
    Enfin, je souhaite et j’attends votre nouvelle aventure avec curiosité (saine) ou intérêt.
    Portez-vous bien et au plaisir de vous (re)voir !

    Répondre
    • 28 mars 2020 à 16 h 03 min
      Permalien

      Bonjour Emmanuelle,
      C’est vrai que vers la fin, on était à la fois heureux de visiter et heureux d’avoir réaliser ce fabuleux voyage !
      Ce ne sera pas complètement la fin car nous devons encore écrire un article pour effectuer le bilan.
      A vrai dire le retour s’était plutôt bien passé, même au travail, la routine avait repris ses droits comme si de rien était.. et puis comme tout le monde (l’expression est très vraie en ce moment), nous sommes à présent consignés à domicile, comme un faux départ dans le retour à la vie « normale », on apprend à vivre différemment de ce à quoi nous sommes habitués.
      M. Bean, les nombreux animaux, sont maintenant d’excellents souvenirs qu’il nous reste pour faire passer quelques heures parfois longues ..
      Nous n’avons pas de vélos d’appartement, heureusement car nous avons déjà 4 vélos dans la chambre d’amis et j’ai bien peur que tout nouvel engin, même très utile, ne soit pas très bien accepté par Romain qui trouve cela trop !
      Encore un énorme merci Emmanuelle pour tes messages et à très bientôt dans les rues de Betton

      Répondre
  • 20 avril 2020 à 11 h 55 min
    Permalien

    Coucou : je viens de lire votre dernier circuit que je n’avais pas lu : « Malaisie…. ». Je me suis donc replongée avec plaisir dans une lecture vraiment très agréable, riche de commentaires bien faits et de photos géniales. Bravo à vous pour le récit de votre fabuleux voyage que je n’hésiterai pas à relire.
    J’ai le bilan à lire aussi, SUPER.
    Gros bisous

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.